Une salle pleine à craquer n’a rien d’une promesse d’horaire respecté. Les annonces affichées, aussi précises soient-elles, servent davantage de cadre que de règle gravée dans le marbre. Entre les imprévus techniques, la ferveur du public et la spontanéité des artistes, chaque concert trace sa propre trajectoire temporelle, parfois très éloignée du plan initial.
À Paris comme à Marseille, impossible …